L’administration générale de la perception et du recouvrement (AGPR) du SPF Finances souhaite informer les membres ITAA que les déclarations PrP 2023 ne pourront plus être déposées après le 27/9.

30/08/2024 – Clôture du programme pour les déclarations de précompte professionnel de l’année 2023 le 27 septembre 2024

Vous pouvez déposer les déclarations de précompte professionnel pour l’année 2023 via Finprof jusqu’au vendredi 27 septembre 2024 à 16h. Pour éviter les erreurs de dernière minute, nous vous invitons à envoyer vos derniers fichiers quelques jours avant cette date limite, afin d’avoir le temps nécessaire de les corriger.

voir aussi: https://finances.belgium.be/fr/E-services/FinProf

Le SPF Finances nous informe ce 30/8 que Tax-on-web doit subir une maintenance indispensable.

En raison d’une maintenance indispensable, Tax-on-web pourrait rencontrer des perturbations ce mardi 3 septembre entre 9 h et 10 h.

Des maintenances nécessaires sont également prévues pour Belcotax-on-web aux dates ci-dessous. Ces maintenances peuvent également entraîner des perturbations temporaires pour Tax-on-web.

  • 12 septembre (entre 9 h et 10 h) : Belcotax-on-web revenus 2023
  • 19 septembre (entre 9 h et 10 h) : Belcotax-on-web revenus 2022
  • 26 septembre (entre 9 h et 10 h) : Belcotax-on-web revenus 2021
  • 17 octobre (entre 9 h et 10 h) : Belcotax-on-web revenus 2020

Nous mettons tout en œuvre pour limiter au maximum l’impact de ces maintenances sur nos e-services.

Nous avons également publié un message d’actualité sur notre site web.

Dès la matinée du lundi 26 août, de nombreux membres de  l’ITAA ont signalé au servicedesk que l’accès aux mandats du SPF a été perturbé, bloquant l’avancement des déclaration et bilans pour de nombreux utilisateurs. Heureusement, le SPF a réussi à remédier au problème dès le lendemain, le 27 août, vers 14h.

Il est inexplicable que ce genre d’incidents persiste année après année. Cette récurrence soulève des questions sur la durabilité des solutions apportées et la prévention de futurs incidents similaires. Pourquoi ces perturbations continuent-elles de se produire ?

Il est également crucial que le SPF soit rapidement à l’écoute de l’ITAA pour détecter et résoudre les pannes dès qu’elles surviennent. Une collaboration plus étroite pourrait permettre de prévenir de nombreux problèmes, de détecter les pannes plus vite et d’assurer une meilleure continuité des services.

L’ITAA continue par ailleurs de plaider pour une clarification des suites en cas de panne des e-services quel que soit le service public en ligne. La proposition est simple : un jour d’indisponibilité devrait automatiquement entraîner un jour de délai supplémentaire. Cette mesure permettrait d’éliminer toute incertitude dans le chef des utilisateurs et d’éviter des discussions inutiles.

Selon un arrêt récent de la Cour de Justice de l’Union Européenne rendu sur question préjudicielle, les experts-comptables et les conseillers fiscaux seront tenus de notifier les montages fiscaux complexes aux autres intermédiaires dans le cadre de DAC6. Seuls les avocats bénéficieront d’un régime dérogatoire et pourront continuer à invoquer leur secret professionnel pour échapper à leur obligation de notification.

La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu, en date du 29 juillet 2024, un arrêt dans le cadre de cinq questions préjudicielles posées par la Cour Constitutionnelle quant à l’interprétation des termes de la directive 2011/16/UE du 15 février 2011 (dite DAC6) et de sa transposition dans une loi du 20 décembre 2019. La quatrième question préjudicielle (points 91 à 120 de l’arrêt) portait sur l’obligation de notification de montages fiscaux complexes par les intermédiaires soumis au secret professionnel aux autres intermédiaires.

Cet arrêt – qui a un impact sur l’obligation de notification des experts-comptables et des conseillers fiscaux aux autres intermédiaires – peut être consulté dans son intégralité en cliquant ici.  

Commençons par rappeler le contexte dans lequel cet arrêt de la CJUE a été rendu :

  •  En vertu de DAC6 et de la loi du 20 décembre 2019, les intermédiaires sont tenus de déclarer aux autorités compétentes les informations dont ils ont connaissance concernant les dispositifs fiscaux transfrontières de planification fiscale à caractère potentiellement agressif.
  • DAC 6 prévoit toutefois une exception à cette obligation de déclaration aux autorités compétentes : le secret professionnel. En effet, les intermédiaires ont le droit d’être dispensés de l’obligation de fournir des informations concernant un dispositif transfrontière devant faire l’objet d’une déclaration lorsque l’obligation de déclaration serait contraire au secret professionnel applicable en vertu du droit national. En pareil cas, les intermédiaires sont toutefois tenus de notifier sans retard à tout autre intermédiaire, ou, en l’absence d’un tel intermédiaire, au contribuable concerné, les obligations de déclaration qui leur incombent.
  • La CJUE s’était déjà prononcée – dans le cadre d’un arrêt du 8 décembre 2022 n°C-649-20 – en faveur de l’absence d’obligation de notification, dans le chef d’un avocat, d’un dispositif transfrontière à d’autres intermédiaires.
  • Etant donné que seuls les avocats étaient visés par cette possibilité de sauvegarde de leur secret professionnel vis-à-vis des autres intermédiaires, l’ITAA a – dans un but de sécurité juridique – demandé que soit posée une question préjudicielle à la CJUE par la Cour Constitutionnelle afin d’obtenir confirmation que l’exemption d’obligation de notification aux autres intermédiaires s’appliquait également aux experts-comptables et aux conseillers fiscaux.

La CJUE a estimé, dans son arrêt du 29 juillet 2024, que les travaux qui ont inspiré la rédaction de DAC6 visaient – en ce qui concerne l’exemption de l’obligation de notification – uniquement la protection du secret professionnel des avocats.

Même si la Cour reconnaît que des contre-arguments sont envisageables, comme (i) le fait que la majorité des versions linguistiques de DAC6 visent les professions (telles que celles de conseiller fiscal, de notaire, d’auditeur, de comptable, de banquier) tenues à un secret professionnel en vertu du droit national, mais, a priori, non investies par ce même droit d’un pouvoir de représentation en justice (voir points 96 et 97) ainsi que (ii) la manière dont les États membres eux-mêmes interprètent le secret professionnel (voir point 105), elle précise que la marge d’appréciation des États membres ne va pas jusqu’à leur permettre de transformer l’obligation de déclaration aux autorités compétentes en une obligation de notification aux autres intermédiaires pour les professionnels qui ne peuvent pas représenter leurs clients en justice (voir point 106).

Cela entraînerait, toujours selon la Cour, des perturbations entre les États membres, pouvant conduire à une « délocalisation » des activités de planification fiscale et pourrait nuire à l’uniformité de la lutte contre la fraude fiscale au sein du marché intérieur (voir point 107).

Toute l’argumentation de la CJUE repose sur la protection spécifique que l’article 7 de la Charte et l’article 8, paragraphe 1, de la CEDH accordent au secret professionnel des avocats. L’exemption uniquement accordée aux avocats se justifierait par le fait que les avocats se voient confier une mission fondamentale dans une société démocratique, à savoir la défense des justiciables.

A notre avis, la CJUE fait abstraction du fait qu’un grand nombre d’avocats d’affaires ne fournissent pas de prestation de représentation en justice à leurs clients.
Il n’est pas tenu compte par la CJUE de la réalité selon laquelle les professionnels économiques exercent le même métier que ces avocats d’affaires, à savoir fournir des conseils juridiques et communiquer des notes à leurs clients.

La prochaine étape pour l’ITAA sera de transmettre ses commentaires à la Cour constitutionnelle relativement à l’arrêt de la CJUE du 29 juillet 2024.

Une analyse de l’impact de l’arrêt de la CJUE et de l’arrêt prochain de la Cour Constitutionnelle sur le secret professionnel des experts-comptables et des conseillers fiscaux fera l’objet d’un article dans un ITAA-Zine.

Vous pouvez actuellement commander la nouvelle édition de l’ITAA-Lex. A cette occasion, nous avons posé quelques questions à différents membres et stagiaires. Découvrez aujourd’hui le témoignage d’Héloïse, stagiaire ITAA.

1. Qui êtes-vous ? Quel est votre parcours ?
Je m’appelle Héloïse et je suis stagiaire expert-comptable et fiscale certifiée de deuxième année. Je travaille en fiduciaire depuis plus de quatre ans, d’abord comme alternante pendant mes études à la CBCEC Liège, puis en tant qu’employée après mon engagement dans cette même fiduciaire. Cette année 2023/2024, j’ai suivi des cours du soir pour obtenir une maîtrise de spécialisation en droit fiscal option entreprise à HEC Liège.

2. Où est votre ITAA-Lex en ce moment ? Il est toujours au même endroit ? Pourquoi là ?
Actuellement, les deux volumes se trouvent dans le coffre de ma voiture. Durant l’année, ils m’ont accompagnée quasiment tous les jours au bureau (sauf les jours où je n’en avais pas besoin, mais heureusement la version numérique est toujours disponible, même si elle n’a pas mes post-its) et bien entendu, ils étaient présents à presque tous les cours.

3. Quand l’avez-vous utilisé la dernière fois ? Pourquoi ?
La dernière fois que j’ai utilisé l’ITAA-Lex, c’était lors de la préparation des premières déclarations d’impôt des sociétés exercice d’imposition 2024 (ISoc EI 24). Je me suis interrogée sur le moment où il faut fournir les informations sur une base consolidée.

4. Quel est le moment où il a été le plus utile ? Racontez-nous.
Jusqu’à présent, il m’a été indispensable lors de mes examens, presque comme un porte-bonheur. Il m’a également aidée à analyser et à comprendre les tenants et aboutissants des conseils prodigués par mon maître de stage.

5. Un truc/une astuce que vous pouvez partager avec les autres membres ?
N’hésitez pas à encourager vos stagiaires (ITAA et/ou IFAPME/Bachelier) à travailler avec l’ITAA-LEX, cela ne pourra que leur être bénéfique.

6. Une suggestion pour l’ITAA-Lex de l’an prochain ?
Il serait pertinent d’y inclure la constitution, ainsi que la loi spéciale relative au financement des Communautés et des Régions (LSF) et peut-être également le traité sur l’Union européenne (TUE) et le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE).

Actuellement, vous bénéficiez de la plus grande réduction accordée aux membres de 47%. Retrouvez le code promo dans l’ITAA-Flash du 20 août dernier. Vous recevrez ainsi votre ITAA-Lex 2024 pour € 113,43 au lieu de € 214,01. N’attendez plus, cette réduction est valable jusqu’au 1er septembre!

Suite à l’avis positif du Conseil Supérieur des Professions Économiques, le Conseil a adopté le 2 juillet 2024 la proposition de norme sur la compatibilité de l’activité de domiciliation des entités.

Entrée en vigueur

Lors de l’entrée en vigueur de cette norme, le Conseil a tenu compte des délais spécifiques auxquels nos membres sont soumis durant cette période, ce qui entraîne une charge de travail importante pour les cabinets. Il a également été tenu compte de la possibilité d’appliquer cette norme aux missions existantes pour les professionnels qui effectuent déjà des missions de domiciliation.

La norme est donc applicable à tout contrat de domiciliation conclu entre le client et le praticien à partir du 1er novembre 2024. Pour les missions en cours acceptées par le professionnel avant le 1er novembre 2024, la norme s’appliquera à partir du 1er janvier 2025.

Nous sommes reconnaissants au Conseil Supérieur des Professions Economiques qui, dans ce cadre, a montré de la compréhension pour les circonstances concrètes dans ce domaine !

Pourquoi une norme de domiciliation ?

Pendant longtemps, il a été interdit aux professionnels d’établir le siège social de la personne morale de leur client à l’adresse de leur cabinet. Mais l’évolution européenne vers la libre prestation de services, dès le début des années 2000, a fait en sorte que ce service soit considéré comme une activité « compatible », que les professionnels peuvent offrir. Bien entendu, à la condition que le respect des principes déontologiques (comme l’indépendance) soit garanti.

Entre-temps, la réglementation européenne en matière de lutte contre le blanchiment d’argent renforce le contrôle de la prestation professionnelle de ce service. Depuis 2018, les « prestataires de services aux sociétés » doivent être enregistrés auprès du SPF Économie. Les membres de l’ITAA sont exemptés de cet enregistrement car ils sont déjà soumis à la réglementation anti-blanchiment et sont supervisés par l’ITAA à cet effet.

La grande majorité des membres offrent ces services correctement afin d’aider au mieux certains clients. Malheureusement, il arrive que les choses tournent mal, au point que dans certains cas, les tribunaux d’entreprise tirent la sonnette d’alarme auprès de l’ITAA.

Il était donc nécessaire d’assurer un encadrement adéquat avec une norme. Quelques principes de base ? Il est souligné que le professionnel est soumis à la réglementation anti-blanchiment lorsqu’il fournit ce service. Les principes de déontologie doivent être respectés. Enfin, pour éviter une fausse concurrence sur le marché, les conditions dans lesquelles un siège social ou une adresse professionnelle peut être fourni sont alignées sur les conditions applicables aux prestataires de services aux sociétés.

La BNB souhaite attirer l’attention des membres ITAA sur ce qui suit:

Lorsque le paiement des dépôts de comptes annuels se fait de manière groupée (1 paiement pour plusieurs dépôts), nous avons constaté que le mail envoyé au déposant après publication des dépôts ne contenait pas toujours l’ensemble des mentions de dépôt liées au paiement.
Ce problème, qui a reçu une priorité  majeure, est en cours d’analyse et de résolution par nos équipes techniques qui mettent tout en œuvre pour le résoudre dans les plus brefs délais.

Si des déposants constatent que des mentions de dépôt sont manquantes, 2 solutions s’offrent à eux :

  • Demander à la société pour laquelle les comptes annuels ont été déposés d’envoyer un copie de la mention de dépôt envoyée également dans leur e-box Enterprise
  • Envoyer un mail au Contact Center : helpdesk.ba@nbb.be en mentionnant les n° d’entreprise et exercice comptable des mentions de dépôt manquantes.

Nous ne manquerons pas de vous avertir lorsque ce problème sera résolu.

L’OECCBB et six de ses membres contestaient la validité de l’Assemblée Générale de l’ITAA du 25 avril 2024 devant le Président du Tribunal de Première Instance de Bruxelles.

Dans son ordonnance du 18 juillet, le juge des référés a rejeté l’intégralité des prétentions des requérants. Cette décision est devenue définitive, les requérants ayant indiqué qu’ils ne feraient pas appel.

Le juge a statué sur la base des arguments présentés que :

  1. la demande de l’OECCBB est irrecevable, par manque d’intérêt ;
  2. les demandes des six membres de l’OECCBB sont infondées.

Sur la base des pièces présentées, le juge a rendu la décision suivante :  

  1.  les abstentions ne sont pas prises en compte dans le vote (en s’abstenant, le membre refuse de peser sur le résultat du vote) et ne peuvent donc pas être assimilées à des votes négatifs, confirmant la pratique de longue date de l’ITAA ;
  2. le retard technique n’a pas affecté le résultat des votes : le taux de participation a été similaire à celui des années précédentes ;
  3. le déroulement de l’Assemblée Générale du 25 avril 2024 ne montre pas que les questions des membres n’auraient pas reçu de réponse, ni qu’une approche différente concernant les modalités aurait conduit à un résultat de vote différent.

Pour le reste, le juge des référés ne se prononcera pas sur d’autres points concernant le déroulement de l’Assemblée Générale de l’ITAA, tels que, par exemple, le mode de présentation des comptes annuels à l’Assemblée Générale, le fait que les commissaires soient désignés par la loi parmi les membres, ou encore la gestion des investissements dans le cadre du déménagement du siège.

L’ITAA se réjouit de tourner la page de cet épisode et continuera à se concentrer sur ses missions essentielles : l’accomplissement de ses tâches légales dans l’intérêt général et la défense des intérêts de l’ensemble de ses membres.

 

L’adoption de la facturation électronique découle tout d’abord d’une obligation. En effet, d’ici 2026 toutes les entreprises devront être capables de recevoir des factures électroniques structurées et d’en émettre sous peine (éventuellement) de sanctions.

Néanmoins, la facture électronique n’est pas qu’un caprice de l’administration, mais aussi une véritable opportunité pour les entreprises de progresser tout en réalisant d’importantes économies.

En effet, la facturation électronique permet d’effectuer des économies de coûts d’impression et de papier. Selon une étude de la Commission européenne, la facturation électronique devrait permettre d’augmenter le PIB de l’Union européenne d’environ 0,5 %. 

La facturation électronique permet une précision accrue. La saisie manuelle est la source de bien des erreurs lors de la saisie de facture. La facturation électronique diminue le risque lié à l’erreur humaine.

Pour les comptes fournisseurs, l’intégration des factures électroniques directement dans la solution d’automatisation de la comptabilité fournisseurs permet d’accroître le traitement sans contact des factures.

Cette obligation aura aussi des effets sur la communication entre experts-comptables et entrepreneurs : le temps ou les entrepreneurs déposent les documents en retard peut être révolu si l’intégration entre les systèmes du client et de l’expert-comptable est bien gérée.

Tant l’entrepreneur que l’expert-comptable peuvent ainsi libérer du temps et des ressources pour d’autres taches à valeur ajoutée.

Vous pouvez actuellement commander la nouvelle édition de l’ITAA-Lex. A cette occasion, nous avons posé quelques questions à différents membres et stagiaires.

Découvrez aujourd’hui le témoignage de Marie, membre ITAA et, plus spécifiquement, MIB (Member in Business) !

Qui êtes-vous ? Quel est votre parcours ?

Je m’appelle Marie. Je suis fiscaliste interne au sein d’une banque et membre de l’ITAA depuis 2017. Je suis économiste de formation et j’ai ensuite suivi le master en gestion fiscale de la Solvay Business School. Aujourd’hui, j’accompagne les clients entrepreneurs et les sociétés dans le réseau commercial de la banque, dans leurs préoccupations fiscales.

Où est votre ITAA-Lex en ce moment ? Il est toujours au même endroit ? Pourquoi là ?

Je bouge beaucoup, mais le code est toujours avec moi. Je le consulte régulièrement, c’est un excellent aide-mémoire. Les questions auxquelles je suis confrontées sont aussi larges que variées et avoir le code me rassure beaucoup.

Quand l’avez-vous utilisé la dernière fois ? Pourquoi ?

C’était aujourd’hui. Je voulais relire un article du code TVA avant de répondre à une question.

Quel est le moment où il a été le plus utile ? Racontez-nous.

Je pense, lors de l’examen de l’ITAA. Il était rempli de fluo et de post-its en tous genres. J’ai gardé cette édition « examen » en souvenir.

Un truc/une astuce qui vous pouvez partager avec les autres membres ?

Mettre des petits post-its pour séparer les matières.

Une suggestion pour l’ITAA-Lex de l’an prochain ?

Ce serait pas mal d’avoir quelques conventions préventives de double imposition. Du moins, les pays limitrophes.

Actuellement, vous bénéficiez de la plus grande réduction accordée aux membres de 47%. Retrouvez le code promo dans l’ITAA-Flash du 20 août dernier. Vous recevrez ainsi votre ITAA-Lex 2024 pour € 113,43 au lieu de € 214,01. N’attendez plus, cette réduction est valable jusqu’au 1er septembre!